Quelques compagnies de police se sont mutinées en Bolivie et ont rejoint les manifestants dans certaines grandes villes du pays. Un scénario à la vénézuélienne semble donc commencer à être tenté contre la Bolivie, en utilisant les mêmes méthodes et arguments, en commençant par la contestation de la large victoire d'Evo Morales le 20 octobre dernier.
Il devient de plus en plus difficile de soutenir que les Etats-Unis restent en Syrie "pour combattre Daech", après les déclarations de cette semaine des responsables de l'administration Trump, et de Trump lui-même…
Le ministre démocrate-chrétien de la Justice a confirmé ce jeudi que le Gouvernement Fédéral fera appel de l’ordonnance du tribunal de rapatrier une femme belge et ses deux enfants, détenue dans un camp en Syrie.
Comme chaque année depuis 1991, l'Assemblée générale de l'ONU a adopté le 7 novembre à une écrasante majorité, une résolution non contraignante demandant aux Etats-Unis de lever leur embargo économique et financier contre Cuba, imposé depuis 1962. Sur 192 pays, seuls trois ont voté contre : les Etats-Unis et Israël, comme de coutume, rejoint honteusement cette année-ci par le Brésil de Bolsonaro. Le blocus rend impossible l’accès à une série de biens vitaux, tels que les médicaments ; ces biens sont souvent issus de pays tiers dont le commerce normal avec Cuba est bloqué par la peur des amendes et sanctions étatsuniennes contre les entreprises qui se risqueraient à violer l'embargo US.
Le Rapporteur de l'ONU sur la torture, Nils Melzer, a dénoncé une nouvelle fois ce vendredi 1er novembre le traitement subi par Julian Assange dans les geôles britanniques. "A moins que le Royaume-Uni ne change d'urgence de cap et n'améliore sa situation inhumaine, l'exposition continue de Julian Assange à l'arbitraire et aux violations de ses droits pourrait bientôt lui coûter la vie"
Malgré un retrait de troupes à l'est du pays, les Etats-Unis ne lâchent pas vraiment prise en Syrie. Lors de la réunion de l'Otan ce vendredi dernier, les USA ont confirmé l'envoi de renforts pour "sécuriser" les champs pétrolifères de Deir Ez-Zor. Le prétexte affiché est « d'empêcher Daesh d'accéder à ces ressources ». Mais il est assez évident que le but réel est plutôt de priver le gouvernement syrien de ses propres ressources, pour poursuivre l’étranglement économique du pays.