La décision concernant le dernier appel possible au Royaume-Uni pourrait tomber n'importe quand. Ce que l'on appelle le DAY X.
Ce jour-là, à Londres une manifestation aura lieu devant la cour de justice, mais Stella Assange nous demande à tous de nous réunir en nombre dans différentes villes. C'est ce que nous ferons à Bruxelles et à Namur. Soyez attentifs !
Le moment précis et les lieux à Bruxelles et Namur seront communiqués sur ce site.
Un anniversaire de plus en prison, le cinquième, loin de sa famille et de ses amis.
A travers notre rassemblement nous tenterons de lui offrir notre soutien.
Chaque année, nous émettons le vœu que cet anniversaire soit le dernier qu'Assange passe loin de sa famille, entre les murs d'une petite cellule de 3m sur 2.
L'année passée, nous avions placé notre confiance dans les démarches du nouveau premier ministre australien Anthony Albanese et avions fait des photos proclamant « enough is enough ».
Mais rien ne s'est amélioré.
La situation actuelle est très critique.
Cette année, nous nous joindrons à tous ceux qui dans le monde célébreront cet anniversaire en insistant sur le slogan : Le journalisme n'est pas un crime.
En ce jour, nous nous permettons des vœux et des souhaits parce que c'est ainsi qu'on célèbre un anniversaire et que cela peut redonner courage et espoir.
Mais cela nous donne aussi des perspectives de luttes et nous continuerons sans relâche.
A Bruxelles, venez nous rejoindre à partir de 16h
- devant l'ambassade d'Australie (56, avenue des arts) d'où nous commencerons notre marche - vers l'ambassade des Etats-Unis et la continuerons jusqu'à - l'ambassade du Royaume-Uni
où nous tiendrons le rassemblement mensuel habituel de 17 à 18h30.
A Namur, venez nous rejoindre place de l'Ange de 17 à 18h30.
Avec indignation nous avons appris que le 15 décembre dernier, les eurodéputés réunis à Strasbourg ont approuvé à la quasi-unanimité (507 voix pour, 12 voix contre et 17 abstentions) un textequi qualifie la famine survenue en URSS dans la période de 1932 et 1933, de génocide perpétré par le régime soviétique pour liquider le peuple ukrainien par la faim, plus connu sous le nom russe d’holodomor (en russe Famine de la racine « golod », la faim, et « more », la mer). Véritables falsificateurs de l’histoire les eurodéputés estiment que l'holodomor a été commise « par le régime soviétique dans l'intention de détruire un groupe de personnes en infligeant délibérément des conditions de vie menant inexorablement à leur anéantissement physique ».
Ce lundi 3 juillet, c'était l'anniversaire de Julian Assange, il a eu 52 ans.
Un anniversaire de plus privé de liberté, le cinquième à la prison de Belmarsh, à nouveau loin de sa famille et de ses amis.
Chaque année, depuis 2019, nous émettons le vœu que cet anniversaire soit le dernier qu'Assange passe loin de sa famille, entre les murs d'une petite cellule de 3m sur 2.
L'année passée, nous avions placé notre confiance dans les démarches du nouveau premier ministre australien Anthony Albanese et avions fait des photos proclamant, comme lui-même l'avait dit, « enough is enough ».
Mais rien ne s'est amélioré. Au contraire, la situation actuelle est très critique. L'appel de la défense a été rejeté et nous attendons encore la réponse au contre appel introduit depuis plus d'une semaine. Rien ne permet d'affirmer qu'il sera accepté.
L'étape suivante à la cour européenne des droits de l'homme semble se dessiner. Que donnera-t-elle ?
Nous ne pouvons qu’approuver la démarche visant à faire du 8 mai à nouveau un jour férié officiel comme il le fut jusqu’en 1983, année où le gouvernement de Martens V décida, honteusement, de l’effacer du calendrier. Car il est grand temps que ce moment glorieux de l’histoire de l’humanité soit à nouveau honoré par le pays tout entier. Nous félicitons la Coalition 8 mai d’avoir lancé cette initiative.
Cela dit, par souci de clarté et d’attachement aux faits de l’histoire, nous estimons indispensable de ne pas oublier que la défaite de l’Allemagne nazie n’est pas tombée du ciel. Elle fut essentiellement le résultat de la lutte héroïque du peuple soviétique et de l’Armée rouge ; l’affirmer haut et fort n’implique ni oublier ni diminuer la contribution des autres forces alliées ni des nombreux civils, très souvent communistes, engagés dans la résistance, bien au contraire. Ce ne serait que rendre justice à l’ensemble des protagonistes de la lutte antifasciste d’alors.
Nous craignons que le climat de furie antirusse prédominant dans le système médiatique à la suite de l’intervention militaire russe en Ukraine, pousse parfois à céder à cette ambiance. Or nous pensons que l’on peut condamner sans réserve cette intervention, ce qui est notre cas, sans pour autant devoir se plier aux normes du climat d’intimidation qui se construit de nos jours.
Des personnalités très éloignées de la philosophie politique de l’URSS mais très proches des événements historiques d’alors, comme le Général Eisenhower, Winston Churchill et le Général de Gaulle, n’ont pas hésité à souligner en leur temps l’importance décisive de la contribution soviétique à la défaite hitlérienne. Le fait qu’il soit devenu quasiment impossible de le faire aujourd’hui devrait nous inquiéter sérieusement et ce, d’autant plus que ces positions négationnistes ne sont pas le propre des seuls Vlaams Belang et des formations de l’extrême droite mais également de formations en apparence bien plus « respectables ».
L'État du Qatar est un émirat du Moyen-Orient d'une superficie de 11 586 km2, situé sur une petite péninsule s'avançant dans le golfe Persique, et qui a une frontière terrestre avec l'Arabie saoudite. Sa capitale est Doha, sa langue officielle l'arabe, et sa monnaie le riyal qatarien. Avant 1930, le Qatar était essentiellement une région de pêche spécialisée dans les perles de culture, activité qui va péricliter au profit de la perle japonaise. Dans les années 1940, la découverte du pétrole va complètement transformer l'économie du pays. Aujourd’hui les ressources principales du Qatar proviennent des exportations de pétrole mais surtout de gaz naturel dont il est devenu le cinquième producteur du monde après la Russie, les États-Unis, le Canada et l'Iran.
Depuis l'indépendance du pays en 1971, le Qatar est dirigé par la famille régnante Al Thani qui continue de détenir seule le pouvoir sur un pays qui est en quelque sorte sa propriété privée.
Actuellement le chef de l’état est l’Emir Tarnim ben Hamad Al Thani qui gère le pays en s'appuyant sur sa famille (en arabe l’emir est celui qui donne les ordres. Emir est dérivé du verbe amara (commander). Le Qatar demeure une société patriarcale où l'homme décide de tout. Ainsi, dans certaines familles, les femmes ne sont pas encore autorisées à sortir seules. Les mariages restent souvent arrangés et la mixité, est loin d'être la norme. La population compte 335.000 « quataris » de pure souche et 2,2 millions ressortissants étrangers (90%) à qui le gouvernement qatarien refuse tout accès à la nationalisation.
Le pays abrite l’énorme base militaire américaine d’Al-Udeid, qui constitue le siège de du « Centcom » (le commandement des forces américaines au Moyen-Orient), qui héberge 10.000 soldat américains et 13.000 militaires qataris, Français et britanniques.
Le Qatar est un pays musulman qui s’inspire du wahhabisme, un courant défendant une interprétation rigoriste de l'islam dans sa forme du 7e siècle, accusé d'inspirer l'idéologie djihadiste défendue par Al-Qaïda et l'État islamique (Daesh). Une certaine liberté de culte est admise en faveur des travailleurs étrangers et des touristes, à condition que la pratique religieuse reste discrète et s'abstienne de tout signe extérieur ostentatoire. La liberté d'expression peut entrainer la condamnation à la prison à vie comme celle du poète qatarien Mohammed al-Ajami.du fait des critiques qu'il avait formulées contre le gouvernement du Qatar lors de la Conférence de Doha de 2012 sur les changements climatiques. Dans le domaine de la vie privée, le Qatar applique la charia (la loi musulmane stricte ou « voie à suivre ») qui interdit toute relation sexuelle hors mariage, ou extraconjugales, et expose les homosexuels à la peine de mort. Les châtiments corporels dont la flagellation restent d’application et la suppression de la lapidation n’est pas établie.